Devenir parent, c’est évoluer parfois dans un monde de comparaisons avec des possibilités infinies ! Avant, les mamans se comparaient beaucoup avec les modèles à la télévision, avec les générations avant elles, avec les mamans qu’elles rencontraient au parc et leurs pairs… Maintenant à cela, ajoutons la portion réseaux sociaux qui entre en ligne de compte… J’adore Instagram, Pinterest et tout ce qui entoure l’univers de l’inspiration ! J’avoue, parfois j’aimerais que tout soit parfait comme ce que je vois lorsque je défile mon fil d’actualité et j’ai vraiment cru que ça pourrait l’être quand je suis devenue une maman, puis j’ai vite compris que j’avais deux options : Gérer ou vivre… J’ai choisi vivre, c’était meilleur pour ma santé autant physique que mentale !
J’ai catché ben vite que je ne pouvais pas faire des quiches, des biscuits, un potage, un mijoté pis une trallé de boules d’énergie et comme par magie claquer des doigts et avoir une cuisine impeccable, un tablier propre, un plancher brillant, tout en ayant plié six brassées pour mon mari… Je ne suis pas Mary Poppins et c’est bien correct comme ça … La réalité, c’est que pendant une journée folle de popote, c’est l’over-bordel partout, les enfants ont transformé la maison en dépotoir-ambulant et je ne vois plus mon voisin par la fenêtre tellement mon lavabo est loadé ! C’est comme ça chez-vous ? Rassurez-vous les amies c’est pareil chez nous !
L’autre réalité, c’est que si je veux mettre mon produit final sur Instagram, je vais placer mon produit fini sur la table pour que ce soit appétissant, pas collé juste à côté de ma pile de vaisselle hallucinante… Ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est simplement aimer mettre les choses en valeur. J’avoue, aussi, j’essaie de déjouer mon propre cerveau parce que si je prenais en photo le travail qui m’attend juste après avoir terminé, je n’aurais peut-être juste plus jamais envie de refaire de la bouffe le dimanche !
J’ai choisi de prendre les réseaux sociaux comme un endroit où m’inspirer et non un endroit pour me comparer aux photos que je voyais parce que je trouve que c’est important de dissocier les deux. Je suis capable de me dire que c’est pareil partout et que la plus belle photo d’enfants qui jouent à la pâte à modeler vient avec un plancher rempli de miettes de toutes les couleurs et chez nous, je l’avoue, elles sont parfois entremêlées de celles qui découlent des toasts du matin si j’ai décidé de sortir la plasticine de façon spontanée parce que ça me tentait ! Lorsque l’on prend une photo, c’est pour sizer le moment présent, le figer dans le temps pour plus tard se rappeler de la binette de notre enfant avec sa photo de gâteau modelé de toutes les couleurs et le bonheur avec les réseaux sociaux, c’est qu’on peut immédiatement partager avec les gens qui nous entourent le moment instantané… Plus besoin d’attendre une occasion spéciale pour sortir les albums photos, juste besoin de partager.
Quaker nous a donc proposer de faire la promotion de sa nouvelle campagne #plusjamaisCOMPAREnt pour démontrer la réalité autour des photos que nous choisissons de mettre sur les réseaux sociaux. Notre objectif : Célébrer l’authenticité et être fier de notre vraie vie de famille peu importe ce qui se cache derrière. C’est pour cette raison que nous avons créé un petit montage photo qui démontre les petits bouts de notre vraie vie derrière parfois un cadre précis. Parce qu’à travers tout le brouhaha de cette journée à faire les décorations de Noël avec de la musique douce, l’odeur de la cannelle, les enfants qui s’amusaient eh bien, il y avait aussi la vraie vie, celle que nous vivons toutes !
Soyez fiers de vos familles et des moments que vous passez avec vos enfants, même si parfois ça implique des piles de vaisselles folles et des montagnes de linge à plier ! S’arrêter pour vivre le moment présent avec eux, c’est la meilleure chose à faire parfois ! Au diable la perfection, profitons !
Découvrez l’image de la campagne #plusjamaisCOMPAREnt : http://www.quakeroats.ca/fr/plusjamaiscomparents et venez nous en jaser sur Facebook @La Récréation
*Cet article vous est présenté par : Quaker
Vincent says
29 novembre 2016 at 14 h 16 min«J’ai catché ben vite que je ne pouvais pas faire des quiches, des biscuits, un potage, un mijoté pis une trallé de boules d’énergie et comme par magie claquer des doigts et avoir une cuisine impeccable, un tablier propre, un plancher brillant, tout en ayant plié six brassées pour mon mari…»
J’pense que le problème est là… ton mari, il est pas capable de plier ses propres vêtements? Ou de laver le plancher? Ou de s’occuper des enfants quand tu cuisines? On arrive à le faire ici, avec un peu d’organisation. Papa1 cuisine? Alors papa2 s’occupe des enfants en vaquant à diverses tâches qui ne demandent pas tant de concentration. Genre plier du linge…
Genevieve says
29 novembre 2016 at 18 h 18 minBen oui, au contraire ! Ce que je veux dire c’est justement que c’est la pression que les gens se mettent, ici nous faisons les choses ensemble et on délègue ! On veut justement dire aux parents d’arrêter de se mettre autant de pression comme les images parfaites à la télé :)… On nous fait à croire vraiment qu’on devrait faire tout les doigts dans le nez :)…
Sandra says
29 novembre 2016 at 14 h 40 minMisère mais c’est tellement vrai. En congé de maternité actuellement, court aussi les préjugés. Hier ma maison était très mais très bordélique. Entre deux chapitres que je devais faire pour mon cours et le bébé qui ne faisait que pleurer hier, que je devais teindre jne deuxieme couche sur la rampe d’escalier, aller porter les deux autres pour l’école – garderie… jai « snapchatter » mon bordel a mes amies mamans… elles comprennent tellement… mais bon en congé voyons on serait supposé avoir le temps de mettre ca » spik and span » a pouvoir manger direct au sol… a place jaime mieux m’occuper de bébé. La fin de semaine meme chose je décourage la visite parce que je masseois pour jouer avec les enfants et me coller avec eux a ecouter un film… mes enfants sont heureux ainsi BON!